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    A quelques kilomètres à vol d'oiseau du quartier du Pont-de-l'Arc à Aix-en-Provence certains valons isolés ont été deserté par les hommes. A l'heure où l'expansion uirbaine foisonne, les planificateurs tendent à regrouper les habitations. Même percue comme relevant de la campagne, nombre ede nouvelle batisses proposent des lignes urbaines. Ainsi, les civilisation s'oppose quant à l'usage des sols.

     

    Avant la révolution industrielle, l'essentiel de l'activité s'exercaient dans le secteur rural. De ce fait, les zones arables même de piètres qualité étaient très recherchées. A côté des grandes exploitations déjà en voie de domination, existaient une somme d'habitations particulières équipé de potagers très aboutie démontrant une utilisation vivrière. La poussée démographique du bassion aixois n'a pas encore permis à ces habitats de revivrent à tout le moins ceux situés dans les zones de massif. Ainsi dans les bois du Montaiguet, sur les hauteur des Pinchinat, des ruines atestent de cette population dont les membres n'hésitaient pas à défricher puis à rendre viable des terrains réputézs très ingrats.

    Pour exemple une habitation perché au fond d'un vzallon très peu connu du Montaiguet. C'est là qu'une famille devait tenter de survivre entre le 17 ème et le 18 ème siècle. De la batisse à un étage faite de pierres de rivières il ne reste que quelques pans de murs et l'étrange glacière placée sous le sol dont l'accès est encore visible. Si l'atrait de la ville, la lassitude des longue marche pour rentrer au foyer ont jouées de façon certaine dans l'exode, la disparition des eaux du Montaiguet est un facteur explicatif de premier choix.

    Au fil du temps le chemin la Maison à la glacière est devenue un lieu reculé, un temps quelques jeunes y ont apportés des mobylette désossée puis laissée là en pièce. Quelques canettes de 33 Export des années 1980 témoignent d'une retraite de chasseurs. Pour l'heure, seul le gibier toise depuis les buisson au coin d'un rocher les rare visiteurs.

     


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