• Comme une ceinture, pousse autour d'Aix-en-Provence un habitat d'un nouveau type. Aux lotissements pavillonaires, aux bastide cossues succèdent de grands ensembles immobiliers. Si ces derniers sont par leurs proportions, par la masse de population acceuillies de lointains cousins des cités, il en va tout autrement quant à leur fonction, quant aux conditions de vie proposées.

    (e)tablissement

    Que leurs noms soit une plante, issue de contractions provençales ou encore un prénom, les maisons de retraite s'imposent comme un des nouveaux aspect de l'environnement urbain. A n'en point douter, cette offre de logements spécifiques entraîne le démentêlement de l'habitat occupé jadis par les anciens en centre-ville. Comme un accélérant au processus de transmission traditionnelle, les EHPAD caractérisent un nouvel espace, une nouvelle étape dans la vie des individus induite par l'accroissement de l'espérance de vie comme par les nouveaux paradigmes en vigueur au sein des familles.

    (h)ébergement

    D'un style plus clinquant que leurs ainés, ces nouvelles arches de Noé non pour la plupart plus rien de municipale. Comme une sous traitance de faites, les ensembles privée se substitue peu à peu au réseau d'acceuil publique, de proximité. L'offre d'hospitalité religieuse portés aux personnes âgées se sécularise égallement là où les hospices deviennent un contexte de fin de vie stylisé. Si certains villages conservent un service après-vente pour leurs anciens, l'avenir est à la privatisation de ce qui devient au-delà d'une mission, une série de prestations.

    (p)ersonnes

    Avide de surface à bâtir, les groupes à la manoeuvre investissent en masse en périphérie de la Belle endormie. Enclanchée depuis une dizaine d'années, cette course à la construction semble connaître actuellement son apogé. Ainsi, des quartiers entiers sont spécialisé dans l'habitat du troisième âge à l'image du secteur de la Route du Tholonet près d'Aix-en-Provence où les mur renfermant chaque établissements sont posées à quelques centaine de mètres les uns des autres.

    (a)gées

    Souvent ocre ou orangée, ces constructions néo classiques évoquent l'intention de méler hôtel et résidence pour vieux. A l'interieur, le calme d'un environnement de vie reproduit, une sorte de dinette géante. Bien à l'abris, les résidants peuvent compter sur l'appuie de riverains qui sont tous de gentil employés.

    (d)épendantes

    Dans ces résidences périphériques, les sorties sont à envisager avec beaucoup de recul. Lorsque la viellesse devient une etrangeté, la société s'en prerserve avec cet sorte d'équipement. Comme un dimanche au sortir du repas, les habitudes se perdent dans la nuit des temps au sein de chaque structure où les couloirs sont comme des rues, les massifs de fleurs comme des boulevards.

    Bien lisses, les gazons restes un espace reservé ou parfois le chien d'un visiteurs se risque. Pour ces derniers, le protocole est de rigueur, l'avenir leur imposera peut être le port d'un badge force de légitimité. Au coin des trois glailleuls, le soin du détail est parfait et comme dans une brochure, René est poussé sous la majestueuse allée. Certain d'avoir fait le bon choix et en bon fils, Charles s'en retourne au parking. 


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  • Bien sensible est celui qui parvient, non pourvu d'une carte, d'un plan, d'une image aérienne, à imaginer les contours de sa ville. A cet effet, la lecture du paysage urbain se fait par référence au parcours déembulatoire de l'individu : ici un passager, plus tard un pieton et enfin plus loin l'absence du champs. A cet endroit, il y a ces routes où l'ont passent, ces voies dépassées par leur rang d'avenue. La Route des Milles qui va du Pont-de-l'Arc aux Milles à Aix-en-Provence s'inscrit dans cet espace conquie par la routinie : vécu par l'épisotie des trajets.

    Il est cinq heure, la voiture de devant entame son approche finale vers la Parade : probablement que ces deux filles y vivent en colocation. Sans plus de considération, le véhicule trace. A l'abris, les Paradiens déhambulent dans un espace comme une île sur les berges de l'Arc et de l'autoroute. La vaste copropriété engazonnée a oublié depuis une quinzainne d'années la bad attitude. A l'époque, le quartier était réputé comme étant le Petit Chicago d'Aix avec ses dealers visibles en masse, ses véhicules déteriorés et ses bagarres bihebdomadaire.

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    Depuis, l'ensemble à pris ses marques dans une perspective de viellissement plutôt réussit. La poignée d'aixois propriétaires investisseurs de la première heures peut se féliciter d'avoir priviligié les proches bords de l'Arc au contrée bas alpine. Le côté milieu des champ ou bout de route reste toute fois comme une donnée inchangée. En effet, même si le trafic routier s'est considérablement accrue, la Parade demeurait jusqu'à peux isolée de sa communauté urbaine.

    La ligne de vie représentée par le bus, par ses dizaine de paradiens qui chaque jours évoluent à pied au lon de la route nationale tend à devenir plus que cela. De la naissance de la résidence voisine de l'Hyppodrome sur les ruines de la propriété des Savons - voir article sur ce blog : http://aix-en-provence-la-vraie.kazeo.com/Aix-le-desenchantement/Mais-depuis-ce-vide-pour-beaucoup-c-etait-deja-l-hiver-Partie-II,a911753.html - à l'accord du permis de construire pour des résidence SACOGIVA,, tous les éléments sont réunis pour transformer un flux indicible en une série de vagues et de ressac urbain.

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    Depuis l'ancienne discothèque l'Oxydium,, reconvertie en entreprise de fourniture electrique, jusqu'au pont sur l'Arc qui conduit au Lycée de la Nativité,, chaque parcelle peut être envisagée comme une future zone de travaux. Coincé entre poussé de l'urbanisme ou flux issus de la future polyclinique du Montaiguet, chacuns hésite entre regret d'une tranquilité perdue et espoir de gain future.

    A la croisée des chemin, le Château Lafarge, propriété de l'Université de Provence, attend la restauration de ces 1000 mètres carrés. Au dedans, des thésards poursuivent des recherches dans le champ de l'économie. Au dehors, le parc , ses bassins, ses dépendances sont à l'état d'abandon servant parfois d'abris d'infortune pour quelques èrres de passage. Figée, la propriété devrait évoluer d'ici peu, peut être dans la dynamique d'un changement de propriétaire. Sans mise en relief, mais mis bout à bout, les différentes pièces du puzzle de l'Avenue des Milles se mettent en place. Sans boite ni règle, les joueurs avancent à taton . esoerant au final découvrir le plus beau des tableau. En arrière plan des scènes plus fine permetent à chacun de rêver dans son futur environnement. 


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  • La fin programmée d'un "lieu presque irréel, un lieu miraculeusement resté à l'abri des villenies du siècle et des coulées de béton qui ont submergées tant d'hectares de campagne aixoise depuis quelques décennies" voila ce que prédit en substance Paul-Henry Fleur par l'entremise d'un article paru dans la Provence daté du 24 janvier 2010. Dans un premier temps, il importe pour aborder le sujet de reprendre l'appelation retenue pour nommer la zone : le quartier de Valcros.

    Cette abstraction géographique tend à signifier les abords d'Aix-en-Provence située au-delà de l'autoroute à hauteur du quartier d'Encagnane. Comme une frontière, l'autoroute à su rendre droit le terrain et définir l'espace en aires au-delà des clivages hérités de la gestion en mas des terres. Parmis ces bastides, ces domaines, certains sont encore debout et jouissent de coquettes restaurations, de terrains formés en paysages. A l'opposé, les plus proches de l'autoroute ont depuis longtemps renoncés à leur allure, elles ont sombré à l'image de La Grande Thumine dont l'allée de désserte finit en grillage autoroutier ou de la célèbre villa des Esprits, domaine de Trenet, dont la fonction actuelle relève de l'underground artistique. L'article cité relève à propos du domaine sa période squatte or ce dernier n'a jamais été squatté. Et pour cause, vide de tout mobilier, la bastide n'est qu'un hantre obscure ou l'oeuvre des pilleurs de matériaux s'est conjugués à de puissantes équipes de taggers Dehors un petit incendie à rendu diforme la serre-orangerie. Les oeils de boeuf des tourelles sont comme crevés et les portes toutes défoncèes. Partout les pas bruissent d'éclat des verres des bais qui pourtant étaient d'une incroyable épaisseur. En haut la chambre de Charles reste la plus humaine lorsque les autres espaces sont invisibles entre pénombre et gravas.

    Plus loin, au sud au-delà de l'autoroute, les champs bordent l'autodrome, un vieux château triste voisin finit d'être restauré. Non cité dans l'article, l'édifice est pourtant remarquable avec ces tours parées d'ardoise. A la suite, s'étire le hameau des Martély. Ce petit quartier en partie occupé par des gens du voyage sédentarisés est à la lisière de l'autoroute et de la voie ferrée et ressort comme au centre du dispositif d'urbanisation en marche. Déjà, depuis la Pioline, le Carrefour d'Aix-les-Milles de nombreux commerces, entreprises ont pris place le long de la "petite route des Milles" dont l'appelation est en sursie. Sur la droite de la voie, l'autoroute ne permet pas l'installation après le complexe EDF, à gauche par contre une large bande de terre se dessine entre la voie ferrée longeant la route plus haut en aplomb. Si les enseignes présentent ont longtemps rivalisées par leur discrétion, l'heure n'est plus à ces temps de retrait. Plus loin, une pâte d'oie suggère une direction à gauche et un petit tunnel permet de retrouver le quartier des Martély à gauche et le Golf d'Aix à droite. Tout droit, l'impasse des Pibouls longe l'autoroute et dessert quelques habitations éparsses.

    Cette impasse rurale est en passe d'acquérir les traits de l'urbanité. Finit le temps des casses automobiles abandonnées. Le temps des gitans abrités plus haut dans le vaste domaine propriété d'une collectivité locale est compté. A leur place, l'argent des fonds de Nex-city seras mis à profit pour l'installation de bureaux à destination des collectivités locales. "L'Ensoleillé", qui fut un temps un magnifique domaine va sortir d'une période végétative de près de vingt années. Entre le modèle "Duranne" et la dynamique avenue du Club Hyppique l'ensemble, déjà dans les cartons de l'institutionnalisation sous le sobriquet de Valcros, est en passe de devenir.

     

    La Suite : plusieurs articles dans la Provence sur le combat des "Valcros"

    - "Manifestation cet après-midi pour défendre Valcros" par Paul-Henry Fleurs édition du Samedi 13 mars 2010

    - "Un collectif de défense de la Campagne Valcros" par S.P. dans l'édition du Dimanche 14 mars 2010. 


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  • Au fil de l'eau ce pourrait être le sort du badeau, du festivalier à tous le moins celui rêvé. Depuis le regard porté sur l'autoroute : trois traits ondulés, une harpe stilisée et voilà notre ville d'eau et d'art, de fontaine et de musique. Posé là en pleine saison estivale, le vacancier pourra trouver l'élément liquide quelque peu absent de la Cité. Bien heureux celui qui pourra jouir des attributs du curiste ou palper une eau vive en dehors du parcours des fontaines. Tater de la mousse ou se faire prendre en photo derrière quatre dauphins ne rafraîchit pas son couple de festivalier.

    Sans innonder la ville d'Aix-en-Provence, sans imaginer une circulation en gondole du périphérique, chacun aimerait en été pouvoir deviser au moment du soir au bord d'une eau étendue. La rivière de l'Arc sans être mer ou lac présente l'intérêt de la contemplation du flôt qui passe comme le bonheur d'une baignade improvisée. Or, les berges du site ne regorgent pas de visiteurs, seuls quelques individus aux activités spécfiques fréquentent les lieux. En premier lieux, les joggers s'atellent à leur passion étrainant un parcours santé dessiné le long du cours d'eau. Plus loin, un rendez-vous gay s'improvise parfois se mêlant aux sportif venus récupérer leur véhicule. A la suite de ce cadre de sport libre, l'infrastructure des Infirmeries fait office d'ambassade sportive officielle. Un gymnase, une piscine, des terrains de tennis cotoient un improbable mur d'ecalade. Faisant face au complexe, un lotissement sort de terre effaçant du même coup un grand domaine qui fut il y a une vingtaine d'années à vocation agricole. Abandonnés durant près de quinze ans, les bâtiments furent squattés. Le corps de ferme principal est seul conservé dans le nouveau projet d'urbanisme. Il faut dire que l'édifice est impressionant avec trois niveaux et une organisation de l'espace intérieur en trois appartements, un espace important de stockage dont les déchêts révellent une activité dans l'automobile durant les années 1970.

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    L'Arc coule au fond du quartier et cela semble indifférer le plus grand nombre. De l'autre côté de la rive, le très tranquille Chemin du Viaduc serpente sous l'ombre de l'oeuvre SNCF éponyme. Côté Pont de l'Arc, un parc Acrobranche a tenté l'aventure et la symbiose avec l'Arc en proposant aux visiteurs de survoller la rivière depuis un ensemble de ponts, de cordes, de poulis. Hormis cette initiative, seul le Marché aux puces organisé sous l'Aqueduc peux se targuer de proposer une manifestation populaire et gratuite au bord des eaux. Les étals en grand nombre l'été s'étendent jusqu'au petit surplomb de terre qui domine l'Arc de quelques petits mètres.

    A Côté, l'ancienne discothèque du Kripton convertit en entrepôt un temps pour la Mairie d'Aix un temps pour la Compagnie de Danse Prejlocaj donne une touche industrielle renforcée par le parking-relais construit tout proche. L'accès à l'eau de l'Arc, la promenade, comme le "callage" entre jeunes en son bord ne coule pas de source. En faute, une moindre valorisation de cet élément par les autorités compétentes dont l'attitude ne s'apparentent pas à une indifférence à propos du site mais plutôt à la mise en place d'un simple arsenal de préservation de ce denier au regard des exigences environnementales, esthétiques contemporaines.

    °°

    Lové dans ce compromis, la fonction de loisir global de bien-être comprise dans les possibilités d'une rivière apparaissent comme non maîtrisées, non exploitées. Si le parcours de santé à permis d'importer un public spécialisé, les aixois, les touristes non initiés continueront leur fonte en centre-ville, souffriront de la petitesse, du calme de Jourdan. Alors que les quartiers d'Aix sont de toute part agrandis au moyen de projets immobiliers parfois gigantesques peu d'efforts sont entrepris pour donner à la cité une faculté d'attraction authentique à tout le moins non marchande.

    Pourtant, chacun le sait, l'espace gratuit organisé peu à terme s'avérer payant et dans le cas d'Aix permettre à la Belle de se refaire une beauté, d'assumer notamment les foules qui foulent les rues de la ville au moment de l'été. Si d'aventure, les flôts de touristes s'égaraient du centre-ville, de ses boutiques pour "descendre" du côté des facs puis gagner les bords de l'Arc - qui pourraient être pour l'occasion renommer la "Grande Arc" -, très vite, le déplacement releverait du pélerinage : parfois pénible avec notamment la traversée de l'autoroute.

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    A cela s'ajouterait la triste vision des berges saturées de véhicules en masse, des voies de desserte transformées en parking. A ce point de l'investigation, seule l'imagination peut sauver le récit. Imaginons dans un premier temps de recouvrir l'autoroute à partir de la Sortie Pont de l'Arc et jusqu'à la sortie Pont des Trois Sautet. Pour imaginer l'ouvrage, il suffit de concevoir de part et d'autre de la chaussée des bandes de béton comme des murs sur lesquels seraient placés des éléments de toiture fait de la même matière. Pour parfaire le chantier, l'espace du toit serait, à la façon du Supermarché Casino Brunet - Avenue Delattte de Tassigny - asservit en parking, procurant par la même le plus formidable des parking-relais.

    Dans cette urbanisme-fiction, il s'agit tous simplement de ramener le territoire de la commune à sa configuration "d'avant l'autoroute" tout en prenant en compte le triplement de sa population. Si les quartiers des Facultés, du Pigonnet ou du Val-Saint-André étaient jadis des campagnes, de la verdure accessibles à l'urbain, cela n'est de nos jours plus le cas or, l'autoroute se pose comme une limite symbolique entre la ville et l'aire qui à l'heure actuelle pourrait se substituer au campagne perdues. 


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  • Alors que l'urbanisme bouleverse au quotidien le paysage, les contours de la cité aixoise, certains quartiers semblent promis à un someil profond. Bien souvent, ce type de projection au long fleuve tranquille siés bien aux habitants. Le Montaiguet avec ses chemins étroits, ses pinèdes gelées et ses dizaines de sentiers semblait imperméable à la pression foncière comme protégé par ses pentes, son arridité.

    Intérieur d'un cabanon isolé

    Pourtant depuis quelques mois des promoteurs sont à pied d'oeuvre pour tenter d'investir l'ilot de verdure. Déjà le lotissements de villa situé derrière le CREPS le long de la voie ferré - Chemin de la Guiramande - à fait office de cheval de Troix, rescucité de vielles voies d'acccès promises à un trafic soutenu. A la suite, c'est tout le bas du Montaiguet compris entre les rives de l'Arc et la voie ferrée qui est envisagé comme une zone à urbanisé. Dans ce Dessin, le Chemin du Viaduc qui relie le quartier du Pont de l'Arc jusqu'au viaduc ferroviaire, a été retenu comme la colonne vertébrale du nouvel ensemble. Il ne s'agit pas ici de commetre un lotissement mais d'asservir la zone à l'institution universitaire.

    Inscriptions en latin sur une cabane isolée

    Le vieux silo abandonné marque le début de la maquette, celui-ci à d'ailleur déjà été racheté à ses propriétaire par voie d'expropriation et serait conservé sur les plans en sa qualité de monument exeptionnel. Du reste le vénérable vaisseau de pierre est par ses dimensions quasi indéstructible et fort de ses multiples vies. Au début du siècle dernier, le bâtiment comportait une annexe et était destiné à la fabrication de vin et de marc de Provence sur la base du raisin apporté par les riverains dont les terres à l'époque étaient principallement plantées de vignes. Par la suite, le mastodompe fut un temps utilisé comme "show room" par un cabinet d'architecte pour finir comme l'un des squates historiques d'Aix-en-Provence.

    Non loin du Silo, une vaste propriété la P... a également été cédée à grand prix et par voie d'expropriation au consortium en charge de ce vaste plan d'amménagement. Le but des opérations est de réunir un maximum de foncier pour réaliser une extension de l'offre universitaire par de là l'autoroute, par de l'Arc. Déjà habitués à l'intense activité du CREPS, les riverains semblent accepter ce nouveau venu à tous le moins si ce dernier est emputé de l'un de ses membres : un pont sur la rivière. En effet, les plans du projet inclus la construction d'un pont sur l'Arc depuis les abords du Silo jusqu'aux arrières de l'Avenue Gaston Berger.

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    Déconfite, une ancienne du quartier anticipe l'élargissement inéluctable de la chaussée : cette impasse dans les années 1950 n'était encore qu'un sentier où quelques séminaristes passaient visitant une communauté de Frères édifiées dans les bois - à l'heure actuelle à l'état de ruine. Parfois, en des temps encore plus anciens, le Docteur Belon se hatait sur le chemin pour rejoindre le sorcier du Chicalon, pour apprendre encore plus de magie là-bas dans la grotte du chamane, face au trone de la Reine Jeanne.

    Déjà obsolète, les histoires d'hier se fondent dans le vert des collines dans le romantisme aïgu du coin que l'on trouve. Plus forte, la beauté organisée gagne du terrain jusqu'à urbanisé les voies d'accès aux rêveries de promenades désenchantées. 


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