A quelques kilomètres à vol d'oiseau du quartier du Pont-de-l'Arc à Aix-en-Provence certains valons isolés ont été deserté par les hommes. A l'heure où l'expansion uirbaine foisonne, les planificateurs tendent à regrouper les habitations. Même percue comme relevant de la campagne, nombre ede nouvelle batisses proposent des lignes urbaines. Ainsi, les civilisation s'oppose quant à l'usage des sols.
Avant la révolution industrielle, l'essentiel de l'activité s'exercaient dans le secteur rural. De ce fait, les zones arables même de piètres qualité étaient très recherchées. A côté des grandes exploitations déjà en voie de domination, existaient une somme d'habitations particulières équipé de potagers très aboutie démontrant une utilisation vivrière. La poussée démographique du bassion aixois n'a pas encore permis à ces habitats de revivrent à tout le moins ceux situés dans les zones de massif. Ainsi dans les bois du Montaiguet, sur les hauteur des Pinchinat, des ruines atestent de cette population dont les membres n'hésitaient pas à défricher puis à rendre viable des terrains réputézs très ingrats.