Dans un secteur forestier, une voie ferrée démobilisée croise une nationale. La mise à l'arrêt de cette section ferroviaire a entrainé la piétonisation d'un tunnel long d'une centaine de mètres. Dans ce secteur, les éléments de transport sont masqués par une végétation puissante.

Bien remisées au fond de chemin devenus forêt, des voitures découpées et quelques restes mécaniques. Un peu plus loin de grands trous forment des mini cirques qui sont les restes d'exploitations de marbre. Ces carrières à ciel ouvert fonctionnèrent jusqu'au siècle dernier puis les veines épuisées conduisirent les hommes à aller creuser ailleurs. De cette épopée restes ces amusant petits cirques, une citerne de béton bien ronde qui est comme un signal depuis GoogleHearth. Coquine, la chèvre du coin toise le visiteur depuis les hauteur.

Un amas de briques et quelques éléments de béton élimés indiquent l'emplacement d'un ancien bâtiment dont la fonction était l'expédition des lourds blocs de pierres. Au loin, les bruits de la nationale et parfois de légers couinements. Il s'agit de curieux engins qui évoluent plus bas sur la voie ferrée.

Très calme, les engins sont mus par la force des endimanchés qui pédalant font avancer l'engin pour une découverte originale du paysage. La voie est encaissée et défile entre les parois. Dans les hauteurs, une ancienne alimentation électrique est à terre typique avec ses éléments de verre très épais.

LA SUITE ICI DANS LES MEANDRES BOISE DES CARRIERES SECRETES ET DE LEURS SECRETS