• Toujours plus loin dans l'émotion, ce qu'ils faisant là-bas, avant

    Toujours plus loin dans l'émotion, ce qu'ils faisant là-bas, avant

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  • A n'en pas douter, la société des hommes telle que nous la connaissons souffre de son modèle. Par-là, des notions établies comme positives basculent dans un avenir incertain.

    La chimérique croissance ou le solide progrès ne font plus l'hunanimité. Si l'écologie offre de s'intéresser au sort de la planète, elle questionne avant tout, le mal-être de la condition humaine.

    L'intrécation des êtres via les structures étatiques, l'économie, tendent à uniformiser le monde et notamment au niveau des exigences de la part des individus. Cela s'entend d'un point de vue social, mais quant est-il à propos de l'économie ?

    C'est le moment où tout le monde veut les mêmes choses en même temps.

    Dans un jeu à évolution ultra-rapide, les fabricants plongent à leur tour dans le désir puis vient l'étape de l'acquisition de leur propre production. Dans ce temps où le moindre objet est dupliqué en un nombre infini de versions, l'expression de la sophistication extrême l'incarne. 

    Cette volonté de distinction entre les différents produits à conduit à une diversification fabuleuse de l'offre, du nombre de marques proposant le même objet. L'électro-ménager ou encore l'automobile illustrent cette profusion de l'offre alimentée par une r&d en ruche.

    Il serait intéressant de questionner le devenir, l'utilité de cette sophistication en lien avec la démission graduelle de l'Occident des secteurs industriels et manufacturiers. Ainsi, pour l'heure la très grande majorité des produits électriques sont importés. Le partage du gâteau économique a un temps expliqué ce basculement entre continent producteur et continent consommateur. Le mouvement écologique a renforcé cette tendance lourde et derrière, la volonté des Etats stratèges.

    La volonté de conserver leurs richesses. En quelques sortes, l'exploitation des ressources industrielles disponibles, les salissures qu'elle entraine n'est pas retenue comme pertinente. Dans ce modèle le capital fondamental est préservé. Pourquoi faire chez soi ce qui peut-être fait ailleurs ? Pour autant, cette voie semble viciée par la mise en commun forcé des enjeux écologiques. En même temps l'horloge économique s'emballe caractérisée par une balance commerciale en berne, tordue.

    Il faut que les individus se calment. Allez au centre commercial tous les dimanches pour avoir la "nouvelle" télé le "nouveau" frigo n'est plus viable. Il conviendrait ainsi de réduire considérablement l'offre de certains produits. Pour les frigos par exemple ce serait S, M, XL ou XXL et une seule marque disponible. Un cahier des charges défini par une agence d'Etat axé sur la durabilité et la voracité énergétique.

    Ce choc de simplification vise, par la réduction de la sophistication, à baisser drastiquement l'empreinte écologique de la production tout en diminuant les coûts économiques induits par les importations.

    Avec nos mugs tous blancs, nos voitures identiques, le monde ne serait-il pas triste ?

    Et bien pas forcément. La solution est peut-être l'Art. La ré-appropriation par les acteurs de leur decorum. Fini le temps où nos désirs sont les papillons de l'offre, effaçant sous les marques les moindre de nos traces. Les mugs comme les voitures seront décorés de nos doigts comme l'homme reproduisait l'animal aperçut dans la journée, sur les parois de sa grotte.

     

    There is no doubt that the society of men as we know it suffers from its model. In this way, notions established as positive tip into an uncertain future.

    Chimeric growth or solid progress no longer do hunanimity. If ecology offers to be interested in the fate of the planet, it questions above all, the evil of the human condition.

    The integration of beings through state structures, the economy, tend to standardize the world and especially at the level of the demands of individuals. This is understood from a social point of view, but what about the economy?

    This is the moment when everyone wants the same things at the same time.

    In an ultra-fast evolution game, the manufacturers in turn plunge into desire then comes the stage of acquiring their own production. In this time when the least object is duplicated in an infinite number of versions, the expression of extreme sophistication embodies it. 

    This desire to distinguish between different products has led to a fabulous diversification of the offer, of the number of brands offering the same object. Home appliances and automobiles illustrate this profusion of supply fuelled by hive research.

    It would be interesting to question the future, the usefulness of this sophistication in connection with the gradual resignation of the West from the industrial and manufacturing sectors. So, for the time being, the vast majority of electrical products are imported. The sharing of the economic cake has for a time explained this shift between producer and consumer continent. The ecological movement has reinforced this heavy trend and behind it, the will of strategist states.

    The will to preserve their wealth. In a way, the exploitation of the industrial resources available, the dirt it entails is not considered relevant. In this model fundamental capital is preserved. Why do at home what can be done elsewhere? However, this path seems flawed by the forced pooling of ecological issues. At the same time the economic clock is racing characterized by a trade balance at half-mast, twisted.

    People have to calm down. Go to the mall every Sunday to get the "new" TV the "new" fridge is no longer viable. The supply of certain products should therefore be considerably reduced. For refrigerators for example it would be S, M, XL or XXL and only one brand available. Specifications defined by a state agency focused on sustainability and energy efficiency.

    This simplification shock aims, by reducing sophistication, to drastically reduce the ecological footprint of production while reducing the economic costs induced by imports.

    With our white mugs, our identical cars, wouldn’t the world be sad?

    Well not necessarily. The solution is perhaps Art. The actors re-appropriation of their decorum. Gone are the days when our desires are the butterflies of the offer, erasing under the marks the least of our traces. Mugs and cars will be decorated with our fingers as man reproduced the animal seen during the day, on the walls of his cave.


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