• En contre-bas d'une petite rue qui longe l'autoroute subsiste, coincée contre le haut mur anti-bruit, une paire de voutes vestiges d'un ensemble de vielles habitations. Le Château de la Beauvalle tout proche, convertit en en un ensemble d'appartements, est à l'origine de ces cavités sous-terraines happées par la construction de la voie d'autoroute. Ultimes témoins, ces constructions furent un temps utilisées en qualité d'abris de fortune par quelques clochards puis l'accès fut privatisé.

    Quelques clichés de ces reliques placées en milieu hyper-urbain.

     

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  • (ici) UNE SELECTION D'HISTOIRES DE SQUATTES, DE FRICHES URBAINES, UNDERGROUND CHACUN JUGERA, BONNE VISITE

     

     

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    SQUATTE STORY AIX PARTIE 2.  Photo 27725.jpg

     

     

     

     

     

     

    SAGA D'UN SQUATTE DE LUXE

     

     

    SQUATTE STORY AIX PARTIE 3. (LA MAISON DES SINGES) Photo 668.jpg

     

     

     

     

     

    SQUATTE PALETTE ETC Photo 2631.jpg

     

     

     

    Z.I. des Milles CÔTE PILE

     

     

    HISTOIRE PROCHE DU SQUATTE DES INFIRMERIES photo 1851


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                      (béta)                                             

     

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    Dans le quartier des Infirmeries seules une ruine reste pour témoigner des habitats précédents. Accessible depuis un pont qui passe au-dessus de l'autoroute, les Infirmeries sont comme coincées entre les eaux de l'Arc et le flux continu des automobilistes. Si le quartier était jadis fait de maisons en pierres ou de champs cultivés, ses traits, ses fonctions se sont considérablement modifiées au fil des siècles. Comme le déclin du bassin agricole et industriel de l'Arc, avec le démantèlement des moulins des fermes et des usines, a contribué à modifier la physionomie du quartier, la construction de l'autoroute en XXXX à définitivement mis sous cloche les Infirmeries. Telle une île urbaine, le quartier a dû être adapté à son splendide isolement et par là de nouveaux horizons ont été dessiné pour lui.

    Aux fermiers rentrant du labeur, à l'ouvrier ont succédé des sportifs usagers du complexe sportif édifié à partir de XXXX. Les stades se sont multiplié et avec eux les gymnases, piscines et autres équipements périphériques aux activités sportives. Graduellement, l'Arc a été relevé de ses fonctions industrielle et agricole pour fournir un rôle plus instrumental : un écrin de verdure. La mutation du quartier ne s'est pas fait en un jour. Durant quelques décennies intercalées entre la mise en service de l'autoroute et les temps actuels, les Infirmerie présentait un aspect hétéroclite caractérisant une forme spécifique de friche urbaine.

    Cet état temporaire est marqué par la combinaison de deux types d'occupation du sol bien spécifique. Aux équipements sportifs présents, aux chantiers des futurs équipements s'opposent les ruines, les restes des domaines vidés peu à peu de leur propriétaire. En quelques sortes, la mise en chantier des Infirmeries, sa conversion aux loisirs a induit une parenthèse comme enchantée à tout le moins pour les amateurs de sites abandonnés.

    Si le mini-golf, avatar raté du projet global, représentait un site abandonné emblématique, la ferme qui y était attenante relevait du squatte géant. Abandonnée par ses propriétaires le temps des longues années de négociation, la ferme a peu à peu été squattée jusqu'à abriter une dizaine d'occupant. L'intérieur assez spartiate fut vite dégradé tandis que les caves à vin fur asservie au stockage. Sous la tonnelle très longue, sorte d'abris sous tôle se décomposait pêle-mêle une table de ping-pong, quelques outils pourrit et un hors-bord qui avait dû être puissant.

    Sous les tags, il ne reste peu de chose des anciens occupants dont l'activité d'agriculteur est attestée par les nombreuses dépendances. Il y avait ce pigeonnier à l'entrée, un muret puis ces champs qui descendaient jusqu'à l'Arc aujourd'hui à usage de parking. Plus loin, à l'actuelle emplacement de la plateforme postale se trouvait une vaste porcherie avec ses boxes fait de brique, sa coursive tout au long. Impressionnante, cette annexe du domaine n'intéressa guerre dès les porcins partis tant et si bien que c'est en l'état que cette dernière fut démolie. Chassés, les squatters occupaient également par intermittence le petit parking situé derrière le complexe sportif historique.

    Comme en arrière-plan, les squatters, leurs habitats, les reliques du passés étaient tous placés au fond de chemins condamnés, derrière des grillages éraillés. A l'opposée, le nouveau quartier émerge avec ses pionniers comme la discothèque le Damier qui jadis était surnommé le "Parc à Ferraille", les convives dansaient sur le jeu d'échec géant dessiné sur le sol de l'établissement de nuit. Tous proche l'hôtel Ibis a été inauguré en ... et depuis ne cesse de renforcer ses positions. Du reste, l'établissement propriété du groupe Accord peut compter sur la présence toute proche de ses deux confrères Novotel -Beaumanoir et Pont-de-l'Arc.

    Sur ces entres-fait, les Infirmerie représentent un secteur particulier où les lois du sport, de l'hôtellerie s'exercent comme en un lieu clôt.

    Par la suite, des résidences ont été édifiées pour tenter l'expérience de vie permanente dans cette aire de loisirs. A n'en point douter, les habitants apprécierons le charme tous particulier du site, cette impression qu'au-delà de la résidence s'ouvre une autre résidence puis enfin la ville.

     

    Ruine située au bord de l'autoroute à l'entrée des Infirmeries

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  • Une promenade aux confins de l'urbanité, au travers d'un espace confiné entre la chaussée d'autoroute et l'arrière de quelques résidences. Entre sentier ruelle et accès de service, l'étroit passage chemine bien caché derrière les hauts murs de béton aux vertus phoniques. 

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