• Retrouver les 4 épisodes précédents de la saga authentique des Malouesses dans la rubrique : "Malouesse du Bidonville aux trois cliniques".

    Au domaine des Malouesses, la Polyclinique est avancée. Le projet annoncée depuis des mois a dépassé l'étape quasi invisible de la pause des jalons de propriété. L'heure est à présent au travaux intensifs de défrichage du terrain. Ainsi les bois jadis denses voir inpénétrables ne sont plus qu'un espace passablement arborrhé : partout les puissants engins de déforestation damant la végétation.

    Les aménagements entrepris à l'heure actuelle concernent principalement la zone nord du site - aux alentours et sur l'ex terrain de vélo-cross - qui selon le business plan serait rétrocédée à la commune d'Aix-en-Provence. La haut sur le plateau, des ruines sont apparues par la tonte laissant poindre en sus de la grande bastide délabrée cinq ou six habitations de taille beaucoup plus modeste. Là ou hier les VTT tournaient sous la pinède, aujourd'hui le cadre est nud. Par endroit des puits de grande profondeur afleurent en surface. Non bornés, à même le sol, les forages vieux de plusieurs centaines d'années mis au jour représentent autant de dangers mortel. Le nombre des orifices témoigne du riche passé perdu des Malouesses. Par pants entiers apparaîssent ici une allée de chêne, là-bas une série de bancoue exhumés pour une dernière ritournelle.

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    Un ilot boisé persiste sur le plateau comme un attol dans la lagune. Le campground de l'Irlandais a été provisoirement épargné et avec lui quelques arbres voisins. L'antre du spécialiste des spinder - construction de maison en milieu naturelle - est devenu un banal campement de fond de chemin, de fond de chantier. A ce train, la tente, sorte de yourth moderne devrait être désertée d'ici peu comme tout les souvenirs du nomade celtique dissipés.

     

    En bas, Philippe qui a tourné pour la dernière fois les clefs d'un appartement en 1982 du côté de l'Est de la France, reste bien pésent. Cette année 2010 marque le dixième anniversaire de son établissement aux Malouesses comme le début de la fin de cette parenthèse provençale. La place aux rêveurs va devenir un lieux de travail, de soins où patients et professionnels poursuivrons la dramaturgie de l'exercice médical. Au petites histoires de Philippe, à la mémoire de Raphaël succédera le cadre aseptisé d'une aire médicale.

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       La grotte de Feu Raphaël

     Notre histoire complète du site des Malouesses sur Aix-la-Désenchantée (ici)

     

    A la suite :

    - "Nouvelle polyclinique : le permis de construire bientôt déposé" par Carole Barellta, La Provence 15 février 2010 : http://www.laprovence.com/article/aix-en-provence/nouvelle-polyclinique-le-permis-de-construire-bientot-depose

    - "Amis du Montaiguet et vrais ennemis de la polyclinique" par Alexandra Ducamp, La Provence 7 janvier 2010 : http://www.laprovence.com/article/aix-en-provence/amis-du-montaiguet-et-vrais-ennemis-de-la-polyclinique

    - "Le transfert de la polyclinique adopté malgré de vives protestation" par Carole Barletta, La Provence 4 novembre 2009 : http://www.laprovence.com/article/aix-en-provence/transfert-de-la-polyclinique-la-majorite-signe-lordonnance


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  • A l'heure ou la société s'équipe d'yeux mécaniques en masse, les résultats à long terme de tels outils sont-ils avérés ? Outre les statistiques froides relayant une délinquance en baisse ou une chute de l'incivilité dans les secteurs couvert par les dispositifs de télésurveillance, peut-on diagnostiquer des effets secondaires ? .

    Quelles soient visibles ou invisibles, mobiles ou invalides, les caméras de surveillance retiennent au moins l'attention de ceux qui en sont les dépositaires. A ce titre, les divisions spécialisées se multipies et réalisent le phantasme populaire du P.C opérationnel à la "24 heures". L'invisibilité typique des équipements ne prévaut pas pour les cellules de visioneurs représentées comme de juste en fond d'écran. La preuve par l'image et comme l'ilusion de traîter immédiatement une affaire et à la suite l'espoir d'une addition prolixe.

    La responsabilité des individus en charge du disositif, ayant accès à ses applications techniques est énormes. En effet comme le fer de lance d'un outil que l'on pourrait objectiver comme un bataillon de gendarmes local, des hommes jouent du zoom, tirent des clichés de la rue, d'un quai de gare, d'un centre commercial. Ces vigiles d'un nouveau genre veillent depuis des nids qui sont parfois d'aigle. Entre la machine à café et l'espace en aquarium de veille, il n'y a que quelques mètres. Mohamed s'autorise une petite pose. Le nouveau thé vert est succulent, la boisson fumante brume dans la nuée d'écrans lorque qu'un zoom sur quatre clochards un peu turbulent s'impose.

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    Le langage de sourd est entamé : un aveugle est épié par un sourd-muet. A ce point l'oeuil du cerbère est aiguisé par la proie à chasser ou à surveiller, par ce qui est attendu au terme de la livraison du dispositif. Si la présence de forces de l'ordre sur la voie publique est une constante dans les démocraties, quand est-il d'une surveillance plus diffuse, plus intendue ? Le choc d'un lendemain à la Brazil n'est certe pas arrivé même si le recours à la technologie reste incontrolé. En effet, les possibilités du progrès sont mises au service des situations bien plus que l'on ne créé pour résoudre ce qui apparaît au commun comme une problématique.

    Le contrôle total d'un espace à la façon d'une salle popre, d'un local stéril est à n'en point douter un idéal de science-fiction. A l'échelon du rêve individuel bien peu espère evoluer dans un espace d'une propreté clinique, asceptisé à outrance. Pourtant, comme un juste prolongement à la somme des choses déposées sous la forme de tertres : le progrès, certains oeuvrent à l'amélioration de leur songeries en compétences. Comme un dessein à finir, un tableau à réenchanter, un drame à noircir, des solutions ne cessent d'ête apportées pour parvenir à des objectifs presrits en terme sécuritaire. La force de ces prescriptions, établies comme autant de challenge, est inssuflée par les possibilités vendues, entretenues par le maillon actuel des entrepreneurs moraux.

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    A la solde de la technologie, l'offre de surveillance electronique permet à quelque uns d'accéder à des perspectives intéressantes : qui de maîtriser l'outil au sein d'une unité de police municipale qui de distribuer les précieuses caméras. Au-delà de ces protagonistes positionnés en première ligne, les utilisateurs finaux relévent de deux catégories. D'une par le pulic filmé, par définition inépuisable, et d'une autre part les utilisateurs des images produites. La seconde catégorie d'acteurs est par force de loi uniquement composée d'individus impliqués dans la surveillance des biens et des personnes.

    Sans apporter de souffrance ou même de gène comme l'ondé glacée, la chutte de trottoire, les caméras participent au désanchantement du monde, à la constitution de l'espace publique en zones normalisées où dès demain tous sera mesuré, les qualités déterminées. Du noir d'un mur à la flaque récurrente, chaque défauts sera révêlé bien au-delà de l'anonymat dévolu à l'expérience personnel. De même, la présence de la population d'une rue ressentie par celui du quartier comme un frottement social positif sera nommé : ses excès affichés. Pour Teddy, proche voisin du pont ou tous se vend et s'échange, c'est le changement de bobines : celles là encore plus grandes. C'est le film qui film. Les images prises ça et là métamorphosent ce coin de rue à présent désert où chaque soir Teddy est sorti pour pisser.


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  • Tandis que l'hiver passe, le temps des agapes en plein air arrive à grands pas. En sus des traditionnels aïolis, du mariage programmé dans l'été, les teuffeurs - amateurs de musiques electroniques - préparent leurs camions depuis leurs bases hivernales. Ces grands amoureux de l'automobile utilitaire mêlent dans cet exercice passion pour leur maison mobile et impératif de déplacement. A l'appuis, depuis quelques temps un jeune couple dans la vingtaine patiente dans le froid avant de reprendre la route.

    Car en véranda

    Pour eux le cadre de résidence hivernale est comme un camping sauvage aux portes d'Aix-en-Provence. Sur une vaste dalle posée au bord de l'Arc - qui fut un temps destinée à accueillir un parking de supermarché - une dizaine de camions, de voitures et un improbable car décharné se partagent l'espace.

    Entre Mad-Max et Robinson, les habitants aménagent ici une terrasse, creusent là-bas une fosse d'aisance. Plus loin dans le paysage, à quelques encablure du Château Noir, une autre "unité Spirale" goute à l'agréable torpeur de l'habitat éparse typique du Tholonet. Installés autour d'une maison marquée par l'abandon depuis quelques années, les jeunes ont su s'imposer auprès du propriétaire qui contre de menus travaux, notamment de toiture, acceptent de valider l'étrange camping encore quelques mois.

    A bien y regarder, l'ensemble de véhicules pousser au fond du terrain apportent des couleurs, de la vie à un quartier devenu résidentiel, temporaire. Du côté de Meyreuil dans un cadre tout aussi idyllique, un autre groupe de ces néo-nomades jouit du prêt d'un cabanon en bois ainsi que du précieux terrain qui l'entoure. Comme une parenthèse sur cet axe forestier, l'installation donne des airs de camping au site. Ces nouveaux nomades proposent de nouvelles formes d'occupation de l'espae directement héritées des dispositifs mis en place pour organiser les free-party. En effet, il s'agit d'agencer un espace inconnu mais dont les caractéristiques représentent a priori des valeurs de sécurité pour le groupe. Si dans le cas des soirées l'installation est furtive mais intense, les termes de ces nouveaux squats s'inscrivent dans la durée et le plus souvent dans un effort consentit d'adaptation.

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    Pour les propriétaires de biens susceptibles d'intéresser ce type de population, la surprise est souvent le premier ressentit constatant la présence de ces invités pour le moins inattendus. Passé les heurts du contact, le choix de l'expulsion pure et simple des intrus est souvent arrêté mais ce n'est plus toujours le cas. En effet, la sélection des "cibles" est guidée par des critères particuliers, notamment celui de la tranquilité. Par là, les sites retenus offrent la plupart du temps peu d'intérêts pour le citadin au mode de vie classique, peu de perspectives pour le squatter repentis.

    Comme un pack de service locatif, la charte d'une copropriété, le mode de vie évoqué procure son lot d'avantages comme son lot d'inconvénients. Les acteurs de ces programmes se conforment à une vie nécessairement collective dans la mesure où seul le poid, la force d'une occupation permanente peu conduire à la pérennité de l'habitat. En outre, si certaines prestations comme l'electricité ou l'eau peuvent être parfois disponibles gratuitement en retour, le cadre de vie ne produira aucune propriété structurante d'un point de vue sociétale. Nulle facture, nulle quittance de loyer, même l'adresse est celle d'un autre.

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    Depuis leur rêve premier et comme pour le conserver un équilibre doit en permanence être maintenu entre confort de l'éxotisme et tentation du conformisme. Il s'agit pour ces néo-ruraux du troisième type d'assumer un va-et-viens de qualité entre nature et urbanité afin de ne pas s'enfermer, comme leurs ainés, dans l'austérité d'un rêve devenu par sa perfection par trop étriqué.

    Le site (ici) http://maps.google.fr/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=Aix+en+Provence+%C3%A0+proximit%C3%A9+de+Route+de+Nice,+Le+Tholonet&aq=0&sll=43.506235,5.499256&sspn=0.014318,0.038495&gl=fr&ie=UTF8&hq=Aix+en+Provence&hnear=Route+de+Nice,+13100+Le+Tholonet,+Bouches-du-Rh%C3%B4ne,+Provence-Alpes-C%C3%B4te+d'Azur&ll=43.512176,5.476856&spn=0.006443,0.038495&t=h&z=15&layer=c&cbll=43.512171,5.476856&panoid=nMfmgKMXRGxQKa6qg-3IaA&cbp=11,135.03,,0,5.71


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  • De battre mon cœur s'est arrêté. Avant cet instant et à l'exception de ceux qui misent tout dans leur lignée tout à chacun œuvre à améliorer son confort, son quotidien. Dans cette course, le cadre de vie, le contexte en fait autant que l'homme. En France comme ailleurs les coûts portés dans le cadre des combats individuels pour une forme de réussite tendent à déformer les termes des structures de vie commune.<o:p></o:p>

    La construction d'un idéal pourrait être la solution de cette addition des volontés : qui de vivre chichement qui de se transporter d'un point à un autre de la planète. La route vers un bonheur collectif n'est toutefois que piste et semble amenée à le rester. Comme une suite d'échecs, les calculs des individus ne servent qu'une dimension personnelle et par interaction érode l'offre de possibilités.<o:p></o:p>

    Bien décidé à conserver ses avantages d'employé des Poste, Robert fréquente en fin de service le discounter de la zone industrielle. Préférant l'entrepôt avare en employé à la superette familiale, Robert paiera par cet effort le luxe d'un weekend en Normandie. De son côté, Christine hôtesse de caisse, en a fini avec son compte postal : vive la banque en ligne !<o:p></o:p>

     


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  • Le Golf d'Aix-Marseille basé dans la Zone d'Activité d'Aix-les-Milles n'en finit pas de repousser ses limites. Etablit en ces lieux durant la Belle époque, en 1935 - le premier parcours de Golf en France fut  inauguré à Pau en 1856 -, ce repère de quelques 700 membres accueille des golfeurs de tous niveaux. Les pierres du Domaine de Riquetti confère à la propriété golfique un caractère authentique. Cette bâtisse, qui fut un temps la propriété de la célèbre famille aixoise "Riquetti de Mirabeau", a été édifiée à partir du XVIème siècle comme le point d'orgue de ce bout de campagne bourgeoise.

    C'est à l'initiative de golfeurs marseillais et aixois notamment Louis Ghintra, privés de terrain de jeux dans le département des Bouches-du-Rhône, que l'on doit la mise en green de ce morceau de verdure millois. L'architecte retenu pour réaliser le terrain de sport est un anglais : Peter Gonnon. Ce dernier reste une référence dans ce type de projet avec notamment comme carte de visite le très chic Golf de la Villa d'Este du côté du Lac de Côme (1926) ou encore celui plus proche de la Bastide du Roy à Biot (1930).

    Si le nombre de trous reste limité à 9 à la livraison du complexe, dès 1948 les joueurs peuvent réaliser un parcours à 13 trous puis, à partir de 1954 à 18 trous. Du reste, la révolution la plus visible reste l'arrivée de la zone industrielle à partir des années 1970 qui correspond à la fin de l'union entre villes et industries. La cité aixoise ne fait pas exception et se déleste des usines, des outils industriels installés en centre-ville. La Gare de marchandises en 1974 est l'une des première à immigrer vers la vaste plaine des Milles suivit de près par de nombreux établissements comme la Quincaillerie Aixoise ou encore les Biscottes Roger. Pour Pierre Sarret, Pdg de la célèbre fabrique de biscottes en 1974 "il apparaissait impossible de songer à rester Place des tanneurs - en centre ville d'Aix -, encore moins à envisager la moindre extension : les accès pour les camions devenaient de plus en plus difficiles, les nuisances causées par notre activité commençaient à poser quelques problèmes et provoquaient ici ou là des plaintes de voisinage  - op. loc. Il était une fois le Pôle d'activités d'Aix-en-Provence, J.-P. Kechissoglu (dir.), Edisud, 2003. 

    L'image de l'âtre bourgeois fréquenté jadis par la famille éponyme au célèbre Cours à Carosse aixois est sonnée. Avec le succès de la Zone Industrielle d'Aix-les-Milles, les cheminées d'usines se rapprochent et un mouvement pendulaire de véhicules, chaque jour plus fort, enssere le domaine - 38 000 véhicules jours sur la RD9 rapport Conseil Général du 27 octobre 2006. A l'arrivée des industries succède l'établissement de bureaux par secteur entier dans la zone d'activité. Des rues sortent de terre là ou des chemins de dessertes boueux assuraient autrefois la liaison entre fermes et bastides.

    Dans le secteur Pichaury, le Golf d'Aix-Marseille est entouré de ces pôles de bureaux. Un hôtel dans le même état d'esprit est même venu renforcer le dispositif. Pourtant, bien à l'abris des dunes, des creux imaginés par Gonnon, les joueurs continuent à travailler leur handicap, à tisser du lien social de qualité. Comme un mutant, le quartier de la Duranne sort de terre de l'autre côté de la Départementale 9 assurant au secteur une prospérité, une densité d'activité improbable.

    Non loin du Golf d'Aix-Marseille,  les restes de la Ferme de la Robole sont exploités comme plateau d'entrainement de Maître chien : ici on dispense des formations d'Agent Cynophile de sécurité. L'éducateur canin présent sur place depuis une vingtaine d'années assure les prestations encadrées par le très puissant Lycée Agricole de Valabre. Bien que distant de plusieurs kilomètres, l'étalissement est un peu chez lui à la Robole. Il faut dire que pour ce dernier, la Robole n'est qu'un reflux d'un héritrage reçu en l'an 1882.

    En effet, c'est  à cette date que la Marquise de Gueydan, Joséphine de son prénom légua le Domaine de Valabre à la ville de Gardanne afin d'y réaliser une école d'apprentissage aux métiers agricoles. A cet époque, le département ne dipose pas d'une telle infrastructure et c'est donc en héritage que le Lycée va être créé. Dans un premier temps, les élèves se rendront au Château de Valabre, anciennement nommé Château de Gueidan - actuel Centre de la Sécurité Civiles - pour acquérir du savoir en terme d'élevage ou d' agriculture. Plus tard, en 1963, le Château errigé à partir de 1683 est laissé à l'abandon au profit des terres de la Marquise sur lesquels l'actuel Lycée est construit. 

    Les soeurs de Geydan
    en salle de musique

    Par la suite, le Château de Valabre est confié à la Sécurité Civile tandis que d'autre legs sont récoltés. La Ferme de la Robole est ainsi donnée par son propriétaire à la Ville d'Aix-en-Provence dans les années 1980. Le cadeau est de taille avec d'une part une grande bâtisse d'exploitation et d'autre part, un ensemble de terres. Ces dernières ayant traversées le temps se retrouvent êtres les voisines d'entreprises au caractère industriel. Loin est le temps ou les bourgeois venus du centre-ville se risquaient jusqu'au Milles pour l'achat d'un porc ou d'un agneau.

    Quelques chiens abois tandis que d'autres sont évalués sur le parcours d'agilité. Le Maître chien inspecte, regarde, conseille les candidats à l'habilitation d'Agent cynophyle. Pourtant depuis quelques temps le coeur n'y est plus. L'Educateur canin sait le départ proche. Bientôt, le cadre des ruines de la Robole ne sera plus qu'un morceau du Golf d'Aix-Marselle, une parcelle à harmoniser avec l'oeuvre de Gonnon.  La Mairie d'Aix-en-Provence a en effet  cédée au golf le lègue reçu.

    Plus d'info sur l'Histoire de Valabre et des Photos ici : http://www.valabre.com/joom09/index.php?option=com_content&view=article&id=363&Itemid=59&87414562dbdc5bbd1febc6af0dc28319=1fe64275c5c0b44f187d

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