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    Dominant Aix-en-Provence, le Montaiguet aujourd'hui zone résidentielle, s'offre pour les balades dominicales. Bien à propos, ses flancs sont dédiés au secteur médical avec la "nouvelle polyclinique Rambaud", ou dans le domaine sportif avec le CREPS et plus loin le complexe des Infirmeries.

    Ce décor héliotropique vaguement californien, élaboré depuis la déprise agricole, la fin de rêves locaux par la maîtrise des transports jusqu'à la sortie des industries du bassin de l'Arc, tend à entrer dans son apogée. Si l'histoire ne mettra pas en lignes telles les grandes batailles, la reconquête du Montaiguet, sa physionomie nouvelle semble proche de l'unité avec comme point d'orgue la sortie de terre du nouveau quartier de la Guiramande.

    Cet ensemble de résidences plutôt haut de gamme pourra compter au-delà des nuisances de la voie de chemin de fer toute proche, sur la torpeur du Montaiguet les Hauts. Sur les crêtes du massif cours un réseau de pistes notamment à usage de lutte contre les incendies dont les effectis d'usagers sont en baisse. Bien avant, le sillon de ses pistes entretenues par les "hommes en orange", tenait aux parcours journaliers des quelques habitants, souvent dépourvu de tous véhicules ou moyen de transport, qui peuplaient ce massif au début du XXème et auparavant.

    Si quelques demeures anciennes ont survécues aux années, les bâtisses les plus enclavées dans les hauts, loin des routes et voies actuelles, ont sombrées dans l'abandon : la ruine. Chez le faiseur de miel pour exemple, les murs épais ne font plus que quelques centimètres de hauts. Si un promoteur avait un temps misé sur cette ancienne ferme, la zone attenante au Bassin de Canteperdrix, ne fut jamais promise à urbanisation.

    De la sorte, les quelques habitants, bien souvent héritiers de ces reliques le savent, en cas de destruction : c'est dans l'illégalité qu'il faudra reconstruire. Ennemie suprême, les incendies au fil des années ont forcé les uns et les autres à fermer les yeux sur la résurrection d'habitations brûlée.

    Au Montaiguet d'avant, les enfants devaient couper à travers les garrigues du Vallon des Coq, les bois de la cible pour rejoindre les écoles. Dans les jeu des vacances, dses jeudi après-midi, c'est dans les pinèdes, vers le champ de tir que les cabanes était édifiée. Non loin de l'imposante demeure des Couissinier, les jeunes du quartier risquait une visite dans les cabanons du dimanche entretenuye par des familles du Marseille des années 1950. A présent, les cabanons sont à l'abandon même si l'un d'eux fut occuppé il n'y a pas si lontemps par un ermite des temps moderne. Là où courre la voie romaine, entre la végétation des restes qui étaient déjà ruines du temps des Coussinier.

    Il n'était par rare alors de croiser sur ce réseau de sentier internes les squatters baba cool du Chicalon installé dans une maison en ruine tout proche de celle du "Père Chabaud" garde-chasse de son état. En 1972 c'est chez un grenetier de Marseille qui avait acquis une masure pour investissement que s'était établi un étudiant squatter. Ce dernier à présent médecin, a pût compter sur cette maison sans confort qu'il avait du reste en bon scientifique raccordée à l'électricité sur le câble de léolienne voisine.

    Non loin, au lieu-dit le Chicalon coulait une rivière issue d'une source au centre de tous les intérêts. Déjà dans de vieux actes datés de 1922 obligeaient-t-on les uns et les autres à s'entendre pour la construction d'un "bassin banal". L'édifice est à présent enserré par une végétation prégnante, le rectangle de pierre servait pour la lessive des ménages. Les baignades des jeunes s’organisaient plus bas au niveau de l'actuel quartier de la Cible. Les groupes de jeunes sautaient depuis le "ponton" dans les eaux parfois troubles de l'Arc. Pour cause, non loin au niveau de l'actuel Marcher aux puces d'Aix, se tenait "les Gadoues", entreprise chargée de traiter une part des ordures fruit de l'urbanité galopante en ces années 50'.

    Parmi ces visages ravis par les eaux de l'Arc, l'ermite Jean-de-Labre demeure le plus reconnu. En effet, les communautés croyantes ont fait grand cas de ce saint qui vécut une période de sa vie dans une grotte située dans le secteur montaiguesque du Chicalon. Composé de deux cavités communicantes, l'antre est spartiate, niché dans une descente rocheuse trait raide. L'homme était capable de manipuler les os des êtres avec une telles excellence que c'est enchantée que le malade recevait l'ermite. Le Docteur Belon fut initié aux secrets du rebouteux qui parait-il était capable de modeler à souhait les agneaux. Quatre générations plus tard, c'est le tous Aix qui consulte chez le descendant du Docteur Bellon en centre-ville Boulevard de la République. Du reste, Bellon ne reste jamais très loin du Montaiguet, son assistante habite alors chez les Nicolas fermier dans le secteur du Pré-Magnan.

     

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    Pendant ce temps là dans les bas, au Pont-de-l'Arc, la puissante famille Bernard vend de ses terres faisant émerger le quartier du Pont-de-l'Arc. Le Moulin à blé, situé à l'emplacement actuel du parking du Pont-de-l'Arc fait également partie du lot. Dans un premier temps, l'édifice accueil un commerce de vin puis livré à l'abandon puis ce-dernier est occupé par des clochards. Enfin, l'édifice est abattu par la municipalité laissant place à l'aire de stationnement. De l'autre côté de l'autoroute, le Moulin Martel connait un sort comparable. Avec la fin des moulins, le silo à blé, un temps utilisé à usage de distillerie, est vendu aux enchères publiques. Un cabinet d'architectes devient propriétaire et envisage l'aménagement du silo en espace de bureaux. Sur fond de querelles politiques, le projet sera retoqué jugé vulnérable eu et gars au risque decrue millésimée de l'Arc.

    Quelques clichés du Montaiguet depuis les rudes crêtes dans le confort d'un véhicule, le froid de l'hiver.

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    Visite du Chantier du nouveau Quartier de la Guiramande
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    Au bout du chemin, en fin de sentier, enfouie : une ancienne campagne pour marseillais en vacance. En 1880, l'homme tiens à jouir en famille d'un lieu de villégiature, les kilomètres entre Marseille et Aix représentent encore des heures et sont le gage d'un dépaysement franc. Fort de trois pièces, élevé d'un étage, ce mazet déserté de longue date est comme le calque de toutes ses vacances passées, de ces veillées à la lueur des étoiles, de ses câlins fou avec les bruits éparses de la nuit.
     
     
     
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    A quelques kilomètres à vol d'oiseau du quartier du Pont-de-l'Arc à Aix-en-Provence certains valons isolés ont été deserté par les hommes. A l'heure où l'expansion uirbaine foisonne, les planificateurs tendent à regrouper les habitations. Même percue comme relevant de la campagne, nombre ede nouvelle batisses proposent des lignes urbaines. Ainsi, les civilisation s'oppose quant à l'usage des sols.

     

    Avant la révolution industrielle, l'essentiel de l'activité s'exercaient dans le secteur rural. De ce fait, les zones arables même de piètres qualité étaient très recherchées. A côté des grandes exploitations déjà en voie de domination, existaient une somme d'habitations particulières équipé de potagers très aboutie démontrant une utilisation vivrière. La poussée démographique du bassion aixois n'a pas encore permis à ces habitats de revivrent à tout le moins ceux situés dans les zones de massif. Ainsi dans les bois du Montaiguet, sur les hauteur des Pinchinat, des ruines atestent de cette population dont les membres n'hésitaient pas à défricher puis à rendre viable des terrains réputézs très ingrats.

    Pour exemple une habitation perché au fond d'un vzallon très peu connu du Montaiguet. C'est là qu'une famille devait tenter de survivre entre le 17 ème et le 18 ème siècle. De la batisse à un étage faite de pierres de rivières il ne reste que quelques pans de murs et l'étrange glacière placée sous le sol dont l'accès est encore visible. Si l'atrait de la ville, la lassitude des longue marche pour rentrer au foyer ont jouées de façon certaine dans l'exode, la disparition des eaux du Montaiguet est un facteur explicatif de premier choix.

    Au fil du temps le chemin la Maison à la glacière est devenue un lieu reculé, un temps quelques jeunes y ont apportés des mobylette désossée puis laissée là en pièce. Quelques canettes de 33 Export des années 1980 témoignent d'une retraite de chasseurs. Pour l'heure, seul le gibier toise depuis les buisson au coin d'un rocher les rare visiteurs.

     


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  • Perchées sur les hauteurs d'Aix-en-Provence dans le secteur de Valabre-Montaiguet, les deux belles demeures d'Amphoux ne sont plus. Le puits plein d'eau stagne tandis que les WC en dépendance sombre dans le sol. Depuis l'étage, la vue plein sud vers Gardanne devait être superbe d'autant que c'est de champs et de bois que pointait jadis l'horizon.

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  • Dans le Montaiguet, non loin du Château de la Simone, se trouve un ensemble de ruines pour le moins anciennes. Si les masures n'ont laissées que les traces de leurs murs, quelques bris de tuiles, une de ces modestes habitations demeure en partie visible caractérisée par une pièce voutée. Posés sur un plateau, ces restes se fondent peu à peu avec la végétation à présent isolés en cœur de massif.

    In the Montaiguet, not far from the Château de la Simone, there is a collection of ancient ruins. If the houses have left only the traces of their walls, some broken tiles, one of these modest dwellings remains partially visible characterized by a vaulted room. Placed on a plateau, these remains gradually blend with the vegetation now isolated in the heart of massif.

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